[Obm] Backport opush et obm-sync

[Cyril Cadenel]

Bonjour,

Le 17/04/2014 09:04, Matthieu Baechler a écrit :
> Bonjour,
>
> Le mercredi 16 avril 2014 à 18:28 +0200, Cyril Cadenel a écrit :
>> Bonjour,
>>
>> Quelqu'un a-t-il déjà essayé d'intégrer dans un OBM v2.3 les dernières
>> versions des modules opush et obm-sync afin de pouvoir utiliser la
>> dernière version de thunderbird ainsi que les dernières implémentations
>> d'activesync?
>>
>> Est-ce seulement envisageable?
> C'est une bonne question. La réponse est "non". La raison vient du
> schema de la base de données qui a beaucoup évolué et ne sera pas
> compatible entre obm-sync 2.4 ou 2.5 et OBM 2.3.
>
Le schéma peut être étendu ou modifié (manuellement) si cela ne touche 
pas les tables et champs utilisés par l'UI et les updates de domaines et 
config.
Il reste la partie Java et les librairies qui ne sont pas placée au même 
endroit. Serait-il possible d'installer les 2 versions d'opush en 
parallèle et lancer l'un ou l autre pour test?

> Qu'est-ce qui vous empêche de migrer votre installation OBM en 2.5 ?
>
Beaucoup de personnalisation sur l'installation existante, une machine 
en Lenny qui ne peut se permettre d'être mise à jour (de la production 
dessus), 200 utilisateurs sur le serveur OBM / messagerie. Des 
applications externes exploitant le SSO modifiés...

>> (j'ai déjà intégré un opush 2.3.24 et un obm-sync 2.3.26 sur un obm
>> 2.3.11, mais là la différence de version était minime).
>>
>> Question subsidiaire, pourquoi ne pas avoir choisi de développer un
>> plugin Thunderbird basé sur le protocole activesync (comme pour les
>> téléphones et tablettes) plutôt que de faire un plugin avec un protocole
>> à part?
> Très bonne question. C'est techniquement une hypothèse intéressante et
> déjà envisagée. Politiquement, c'est plus compliqué, c'est un protocole
> propriétaire et sujet à des royalties.
>
Le protocole activesync actuellement utilisé pour la synchro des mobiles 
est il soumis a royalties? Connaissez vous le coût de ces royalties?


Cordialement,

Cyril Cadenel.